Thomas Nunneley (1809-1870) décrit le premier mélange d’éther, de solution alcoolique et de chloroforme dénommé mélange ACE.
Il fut synthétisé pour la première fois en 1540 par Valerius Cordus qui l’appelle l’« huile douce de vitriol » car il le fabriquait par distillation d’un mélange de vitriol (acide sulfurique) et d’« esprit de vin » (alcool éthylique). C’est pour cela qu’on l’a appelé éther sulfurique pour éviter la confusion avec les autres éthers. Peu de temps après, Theophrastus Bombastus von Hohenheim, plus connu sous le nom de Paracelse découvre ses propriétés analgésiques.
Frédéric Cuvier[1] attribue la première introduction à l’année 1730, par un chimiste allemand utilisant le pseudonyme de Frobenius.
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Thomas Nunneley (1809-1870) décrit le premier mélange d’éther, de solution alcoolique et de chloroforme dénommé mélange ACE.
W E Clarke (Rochester, USA) utilise l’éther pour l’avulsion dentaire de madame Hobbie faite par le docteur Elijah Pope.
En 1734 - les chimistes Jean Grosse ou Johann Gross (? - 1744) et Henri Louis Duhamel du Monceau (1700-1782) s’intéressant à la fabrication de la liqueur de Frobenius (éther diéthylique) - réussissent à mettre au point une technique de distillation pour fabriquer de l’éther pur en déterminant la fin exacte de la distillation.
Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim dit Paracelse (1493-1541) constate la vertu somnifère du vitriol doux ou éther au cours d’une expérience sur des poulets. Il recommande cet eau blanche dans le cas de maladie douloureuse. Il fait également du laudanum avec de l’opium.
Publication posthume du livre de John Snow (1813-1858) « On chloroform and other anesthetics ».
Jean-Marc Dupuy (18 ?-18 ?) Nicolaï Ivanovitch Pirogoff (1810-1881) utilisent l’éther par voie rectale.