Asclépiade de Bithynie (-124 -40) recommande la trachéotomie comme ultime remède à l’asphyxie
Asclépiade de Bithynie (-124 -40) recommande la trachéotomie comme ultime remède à l’asphyxie
En 1850 - Maurice Krishaber (1833-1883) perfectionne la canule trachéale qui porte son nom. Son introduction dans la trachée est facilitée par un mandrin à pointe mousse.
Deux stèles des pharaons de la première dynastie Aha à Abydos et Djer (tombe Hemaka à Saqqara) montrent des gravures évoquant la réalisation d’une trachéotomie.
Giulio Cesare Casseri (1552€“1616) ou Julius Casserius - élève d’Acquapendente - réalise une trachéotomie et insère une canule en argent - courbe - plate percée de trous et maintenue par un fil noué sur la nuque.
Girolamo Fabrizi d’Acquapendente (1537-1619) - élève de Gabriele Falloppio (1523-1562) ou Fallope - maitre de William Harvey et de Giulio Cesare Casseri (1552€“1616) préconise la trachéotomie bien qu’il n’en est jamais pratiqué -
Avenzoar ou Abu Marwan Abdel-Malek Ibn Abi al-Alaa Zuhr (1091 ? -1162) réussit une trachéotomie sur une chèvre.
Nicolas Habicot (1550-1624) publie : Question chirurgicale - par laquelle est démontré que le chirurgien doit assurément pratiquer l’opération de la bronchotomie - vulgairement dite laryngotomie ou perforation de la flute ou tuyau du poumon
Frederick Dekkers (1644-1720) de Leyden reprend le trois-quart d’abord direct de la trachée de Sanctorius Sanctorius (1561-1636) et propose de faire la bronchotomie avec un petit trois-quart - armé de sa canule rendant ainsi l’opération plus simple