René Moreau - médecin parisien - est le premier à souligner la nécessité d’humidifier l’atmosphère respirée par le patient trachéotomisé.
René Moreau - médecin parisien - est le premier à souligner la nécessité d’humidifier l’atmosphère respirée par le patient trachéotomisé.
En 1850 - Maurice Krishaber (1833-1883) perfectionne la canule trachéale qui porte son nom. Son introduction dans la trachée est facilitée par un mandrin à pointe mousse.
Frederick Dekkers (1644-1720) de Leyden reprend le trois-quart d’abord direct de la trachée de Sanctorius Sanctorius (1561-1636) et propose de faire la bronchotomie avec un petit trois-quart - armé de sa canule rendant ainsi l’opération plus simple
Giulio Cesare Casseri (1552€“1616) ou Julius Casserius - élève d’Acquapendente - réalise une trachéotomie et insère une canule en argent - courbe - plate percée de trous et maintenue par un fil noué sur la nuque.
Girolamo Fabrizi d’Acquapendente (1537-1619) - élève de Gabriele Falloppio (1523-1562) ou Fallope - maitre de William Harvey et de Giulio Cesare Casseri (1552€“1616) préconise la trachéotomie bien qu’il n’en est jamais pratiqué -
Antoine Louis (1723-1792) fait deux Mémoires sur la bronchotomie à l’Académie royale de médecine - il prône le trocart par opposition à la technique classique
René Jacques Croissant de Garengeot (1688-1759) préconise de mettre devant l’ouverture de la trachéotomie une bande de gaze.
George Martin (1702-1743), médecin de marine écossais, propose une double canule pour en faciliter la désobstruction.
La première trachéotomie prouvée faite chez l’homme a été transcrite par Antonio Benivieni (1443-1502) -